Dernier article au Pérou, avec un peu de retard puisque nous revenons de Cuba et ce fut impossible de travailler sur internet là bas… Notre passage à Lima, la capitale et au Nord du Pérou, entre Cordillère Blanche, plage et sites pré-incas nous aura fait découvrir un nouvel aspect du pays, bien différent encore de celui connu jusque là !
Voila une capitale bien contrastée. Des quartiers riches en bord d’océan aux habitations plus modestes, Lima est une ville bien particulière. Nous aurons la chance d’avoir un ami sur place, qui nous permettra de découvrir la ville sous son meilleur angle.
Miraflores
Nous irons directement à Miraflores, le quartier huppé de Lima, suivant les conseils de notre ami et ceux de notre guide. Première impression surprenante ! Moderne, propre, riche, avec une corniche pouvant donner envie à bien des capitales avec ses parcs, buildings flambants neufs, centres commerciaux luxueux. On ne pensait pas trouver cela après notre visite du pays. Très agréable et sûr, on profitera de notre première journée pour arpenter ses rues et ses parcs.
De la falaise, on remarque que la côte est prisée des surfeurs. Et pour cause, les conditions sont plutôt bonnes ! Lignes propres et régulières, abordables pour un débutant. C’est décidé, Manu ira surfer un peu à Lima. Le dernier jour, il ira passer une après-midi dans l’eau.
On retrouvera notre ami, André, alias « René« , qui habite non loin de là, dans le quartier de Magdalena del Mar. Notre ami français né d’une mère péruvienne s’est installé à Lima il y a seulement quelques mois de ça. Il y vit avec la famille de sa mère dans une belle maison à quelques mètres de l’océan, et démarre sa carrière d’agent immobilier.
Notre première soirée sera dédiée à la vie nocturne de Lima, très vivante, mais dont il faut choisir les lieux. Et oui, Lima n’est pas connue pour être une ville sûre, et on se fera vite briefer à notre arrivée sur les lieux à éviter, assez nombreux. Comme toutes les capitales, Lima n’échappe pas à la règle : on y trouve les plus grandes richesses du pays, qui contraste d’autant plus avec une classe modeste majoritaire, la classe moyenne étant, elle, naissante encore dans le pays. Ce sont ces écarts de niveau de vie qui créent les frustrations et donc délinquance et insécurité. Respectant les conseils, nous aurons profité de la ville sans jamais sentir aucun malaise, mais cela ne voulant pas dire qu’il ne faille pas rester vigilant.
Dans le taxi donc, on remonte les vitres et on verrouille les portes. On sortira en boite de nuit, et danserons jusque tard. L’ambiance était au maximum, et l’on terminera par le classique international des « abrutis bourrés qui se tapent sur la gueule ». Pour rentrer, on ne prend pas les taxis qui attendent devant la boite, mais un taxi appelé d’une agence dite sûre. Des histoires de taxi qui vous emmènent à une heure de la ville pour vous dépouiller sévissent. Charmant. On suit notre guide et ami avec confiance, on vient à peine d’arriver en ville après la dernière nuit dans un bus…
Le centre de Lima
Le lendemain, on visitera le centre historique de Lima. Pour s’y rendre, on prend les « micros« , les bus de ville. On reconnait celui qu’on doit prendre généralement à la couleur, et il est conseillé d’être en bonne condition physique les chauffeurs étant payés au nombre de passager, ils dévalent les rues de la ville à toute allure, on y monte et descend souvent alors qu’il est en marche ! A l’intérieur, les gens se débrouillent et vendent tout et n’importe quoi, des chewing-gums, des barres chocolatées, des stylos, des tubes de colle ou encore des agrafes…
Le centre historique comporte des bâtiments coloniaux bien préservés, une Plaza de Armas magnifique, de rues piétonnes blindées de monde.
On se baladera et on prendra un bus pour se rendre sur le Cero San Cristobal qui domine Lima, offrant un panorama sur toute la ville. Immense, et le contraste est d’autant plus visible de là. Le Rio Rimac qui coupe la ville marque le trait : vers l’océan, la modernité, des buildings, le centre historique préservé, la corniche magnifique ; vers la terre, des petites maisons de briques non terminées à perte de vue, des rues non pavées. Dure réalité mais qui se retrouve dans certaines grandes villes sud-américaines.
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San Isidro
Le quartier le plus riche de Lima, proche de la maison de René. On ira s’y balader avec lui un soir, lui relevant les appartements à vendre ou à louer, et nous découvrant le quartier bien calme et bien gardé, et puis se prenant bien au jeu, l’aidant dans sa tâche : « ici y’en a un à vendre ! Mais vu l’affiche, il est déjà pris par un autre promoteur … Là un autre, celui-là il doit être libre ! »
Comme quoi le travail paie, un appartement relevé ensemble a depuis été contracté par notre ami, et on peut maintenant voir son affiche à l’effigie de son entreprise et la sienne dans les murs de Lima ! Bonne chance René ! N’oublie pas qu’on prendra un pourcentage à la vente ! Mwahahaha !
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Barranco
Un petit passage par le quartier Barranco, assez branché et assez mignon en soi. Malheureusement nous y passerons l’après-midi, alors que le principal de l’activité est plutôt de nuit.
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Le Parc Reserva
Un soir avec René et son amie, nous sortirons au Parc Reserva, assez récent et qui offre, pour une modique entrée, un magnifique spectacle aquatique en son et lumière. Ce ne sont pas moins d’une vingtaine de fontaines éparpillées dans un magnifique parc, de forme des plus étonnantes, d’une pyramide au tunnel, colorées et parfaitement mises en scène. Que ce soit en famille ou entre amis, c’est vraiment un lieux immanquable à Lima pour une belle sortie nocturne (et oui, le jour ne voit pas les couleurs…). De plus, ce parc est entré au Guiness Book des records car il est le plus grand parc à fontaine au monde.
Comme toutes les grandes villes, impossible d’en faire le tour en quelques jours, mais nous aurons eu un soupçon de la ville. Et nous aurons surtout eu la chance et l’honneur d’être accueillis dans la famille de René, qui auront été les plus adorables et chaleureux avec nous. Nous étions presque les seuls invités dans leur maison, et cela nous aura un peu mis la pression. Merci encore à eux, en particulier à Marina et ses petits déjeuners délicieux, et à toi René !
Le Nord du Pérou n’est pas une destination très touristique, et pourtant! Entre la Cordillère blanche, des sites pré inca et les plages, il y a de quoi faire!
La Cordillère blanche
Nous voici en route pour Huaraz, dans un bus – encore et encore – traversant des paysages totalement désertiques, le long de la mer. Cela nous rappelle que Lima est construite dans une région aride… 20h, on débarque à Huaraz, ville de 100 000 habitants au pied de la Cordillère, perchée – encore et encore – à plus de 3000m.
On retrouve par un heureux hasard Fab&Claire, alias les « ZeroD », le couple avec qui nous avions fait l’excursion vers Uyuni. Dommage, ils s’en vont 2h plus tard. La ville n’a rien d’exceptionnel, ayant été totalement détruite en 1970 lors d’un énième tremblement de terre dans cette région du monde.
A nouveau en altitude, on prendra notre temps pour nous acclimater, car nous voulons partir en trek dans cette chaîne de montagne réputée pour être la plus belle des cordillères… La raison ? De nombreux sommets enneigés à plus de 6000m, fort impressionnants, et vraiment splendides pour certains tels que Artesonraju, la montagne « Paramount ». Enfin bref, C’est un peu pour ça qu’on a annulé notre sprint en bus Lima – Quito – Bogota, au profit du mode escargot Lima – Cordillère – Chan Chan – Lima.
Les 2 premiers jours, nous aurons droit à de fortes pluies dont un énorme orage avec de la grêle, faisant plancher notre motivation. Faire un trek oui, sous une grêle comme ça, c’est dangereux… Etant un peu cramés, on décide d’acheter nos provisions pour 4 jours de trek, et on prend le bus direction Caraz, village porte d’entrée du fameux trek de Santa Cruz. On trouve un bon petit hôtel et le lendemain matin, on part, bien motivés. Allez, on va se faire tremper pendant 4 jours, mais c’est pas grave, quand on est cramés…
7h, on prend un combi local pour aller à Cashapampa, le point de départ du trek. Une crevaison et 2h plus tard, nous voici prêts au départ !
Ah! Mais c’est le moment du boleto turistico et donc d’un petit coup de gueule contre nos amis péruviens : voilà que pour se promener dans ces montagnes, il faut payer une entrée à 65 soles (20€). On demande tout de même où va notre argent. La réponse fut en 3 temps : 1) à Lima pour protéger d’autres régions du pays, 2) pour les infrastructures à l’intérieur du parc Huascaran et c’est pour 21 jours et notre préféré 3) ah! Mais c’est moins cher que le Machu Picchu (rappel : le train pour y aller est le plus cher au monde).
Passons ceci et parlons de l’essentiel, du vrai, du beau : le trek!
Le 1er jour, nous aurons beaucoup de chance car nous aurons un superbe temps. On montera plus de 1000m de dénivelé en partant de 2900m d’altitude. Bref, on crache les poumons mais sous le soleil, on est au top!
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On décide d’aller un peu plus loin que l’étape prévue, étant arrivés à destination vers 13h en pleine forme. La végétation est atypique, entre arbre-plantes étonnants et cactus.
A 17h, on plante la tente, se fait un bon maté de coca, observant la montagne MAGNIFIQUE qui vient de se découvrir derrière les nuages. Quel bonheur!
18h30 il fait nuit, le ciel est incroyablement beau, le comble du romantisme…
Le 2ème jour, on plie le campement et à 8h on file vers le mirador pour voir le fameux Alpamayo, l’une des plus belles montagnes au monde!
Bon, le ciel est très couvert alors on doute… À juste titre : on n’y verra strictement rien. Très déçus tous les deux…
De l’autre côté, la vue est tout de même très belle, on voit le fameux Artesonraju, la montagne « Paramount ».
A 12h, on arrive au pied du col qu’il va falloir grimper… Aïe ça se corse, grosse averse et temps bien couvert. On doit se réfugier dans ces abris de fortune aux odeurs nauséabondes… Dur.
Mais étant toujours bien motivés (ou cramés – selon le jugement de chacun), on décide de grimper le col dans la foulée. Nous sommes à 4200m, on doit monter à 4750m… Soit quasiment à même hauteur que le Mont Blanc. Même pas peur. On renfile nos sacs et on commence l’ascension.
On croise des mulets avec des européens, écouteurs aux oreilles, qui redescendent tranquillement. Un peu irréel pour nous! Ce trek étant populaire, une majorité de gens le font avec un guide (c’est officiellement obligatoire) et des mulets qui portent tout le matériel et la nourriture.
Et là, on passe plus de 2h à cracher nos poumons, dans le brouillard et la bruine. On aperçoit quelques sommets. Mais quasiment rien et c’est bien dommage car la vue dégagée doit être magnifique.
Ca y est. On y est. Punta Union, 4750m. Il neige. Epuisés. On ne voit quasiment rien, c’est dommage.
Il faut se bouger car il est 15h30 et dans 3h il fait nuit.
On redescendra pendant 2h, à fond, en essayant de ne pas glisser sur les rochers trempés. Finalement, on décide de s’arrêter près d’un cours d’eau, posant la tente dans une herbe marécageuse. Et nous aurons droit à un défilé de vaches. Oui, apparemment elles n’ont pas souvent de locataires pour la nuit et la tente les intrigue. L’une d’elle tentera même d’y gouter. Mais quand tu es au milieu de nulle part à 4000m d’altitude, qu’il fait froid et que tu es épuisé, 12 vaches entourant ta tente à moins d’un mètre te fixant de leur regard bien vide, c’est un peu anxiogène…
Le 3ème jour, on se lève encore une fois vers 6h30, espérant voir un peu de ciel bleu et de cimes enneigées… Raté. On plie bagage et à 8h on entame le chemin du retour, tentant de ne pas perdre nos chaussures dans ces chemins bien boueux. Objectif : arriver avant 13h, afin de ne pas rater les uniques bus qui rentrent vers Caraz.
Confiants, on file à vitesse Grand V… Mais on ne voit pas le bout! 12h, on croise d’autres randonneurs qui nous disent que nous avons encore 1 bonne heure, puisqu’eux ont… Descendus et que donc on doit… Remonter !? Non, on croyait que c’était fini les épisodes « je crache mes poumons »!
Et bien là on est au bout du rouleau. Pendant plus d’une heure on donnera tout, pestant intérieurement contre nous-mêmes d’avoir voulu faire un trek de 4 jours en 3 jours, sac sur le dos, avec 2000m de dénivelé. Oui. Cramés.
13h10. Vaquéria. Fin du trek. On y est. Et chanceux : un minibus vient de déposer un troupeau de touristes avec leur guide et s’apprête à repartir. On saute dedans. HEUREUX!
La route du retour nous réservera de très très belles surprises avec des 6000m qu’on verra cette fois-ci!!! Et notamment le Huascarán, qui culmine à 6768m, le 2ème plus haut sommet des Amériques. On se sent vraiment petits. On voit tout le potentiel de cette région…
17h, nous voici à Caraz, on retrouve le bon lit et la douche chaude. Repos!
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Le cañon del Pato
Après une bonne journée de récupération, on reprend un bus vers la côte nord… En passant par le cañon del Pato, où on a l’impression d’être dans des montagnes russes : le bus joue à Mario Kart, sur une « route » ou plutôt une piste, avec sur la droite un précipice où les parois rocheuses tombent 200m plus bas dans le Rio Santa. Sensations fortes garanties. Les photos ne rendent pas très bien, mais donnent une idée…
1h plus tard, on retrouve la route asphaltée et on arrive à Chimbote, étape nauséabonde avant Trujillo. Et oui, le Pérou est le premier producteur mondial de farine de poisson (d’ailleurs c’est le pays qui possède le plus de variété de poissons au monde). L’odeur va avec. 2h plus tard, enfin, nous y sommes.
Trujillo
On débarque donc en fin d’après-midi sur la Plaza de Armas de Trujillo, 2ème ville du pays – quand même – avec 850 000 habitants. Le centre historique est à taille humaine, on trouve un hôtel bon marché et repos !
Le lendemain, on file en minibus vers Chan Chan, cité pré-inca de la civilisation michu.
Chan Chan était la capitale de la civilisation Chimu, et s’étendait sur près de 24km2 à l’origine. Aujourd’hui, encore 14km2, mais la visite se limite à la citadelle Tschudi. Très différente de ce qu’on a vu des Incas ou des Tiwanakus.
Inscrite à l’Unesco, la cité est actuellement en restauration et les premiers travaux rendent hommage à sa beauté de l’époque avec des frises vraiment très jolies. À base de vagues, de loutres de mer qui annonçaient la période de la pêche ou encore de pélicans. Beaucoup de lieux pour les cérémonies en l’honneur de la Lune et de la Mer.
La cité est tombée entre les mains des incas après plus de … 10 ans de siège !!! Les incas allant jusqu’à dévier le cours de la rivière…
On visite ensuite Huaca Esmeralda, incluse dans un nouveau boleto turistico (ah! Ils en raffolent !!). Rien d’exceptionnel, puisqu’il ne reste plus grand chose de la pyramide.
On prend un minibus qui joue sur nos nerfs en faisant le tour de la ville, pour nous faire dire que du coup, il est trop tard pour faire une autre visite.
On se ballade dans les rues de Trujillo, qui va certainement elle aussi rentrer au patrimoine de l’humanité, pour son centre historique colonial très bien rénové, coloré. Trujillo, fondée par les espagnols, était prospère grâce à la culture de la canne à sucre. Aujourd’hui, on sent que la ville est dynamique, au regard des rues bien propres aux restaurants chics. Mais impossible de connaître la raison de cette prospérité…
Par contre le soir on perdra un certain temps à trouver un petit resto où on sert de l’alcool (bière ou vin). Il a fallu qu’une gérante accepte qu’on vienne avec notre bière dans son petit resto. Etrange. Problème d’alcool ???
Le jour suivant, on visitera une citadelle de la civilisation des Moches, avant les Chimus : Huacas del Sol y de la Luna, les pyramides du soleil et de la lune.
Nous avons visité la pyramide de la lune (celle du soleil est en cours de fouille encore, la plus grande pyramide du Pérou avec ses 340m de long et ses 45m de haut. Partiellement détruite par les espagnols en détournant le fleuve Moche). La Huaca de la Luna était un centre cérémoniel…
Un peu brut de décoffrage nos amis Moches, qui, tous les 15-20 ans réalisaient des sacrifices humains de leurs ennemis, et buvaient leur sang pour s’accaparer leur savoir… Et calmer les divinités qui font couler les pluies diluviennes.
Des immenses frises où sont représentées la divinité de la montagne sont bien visibles.
Tous les 100 ans environs, ils construisaient un nouvel étage à la pyramidé avec de nouvelles frises.
Allez, les minutes culturelles, c’est terminé. On file à Huanchaco, une petite ville à 15km de Trujillo, au bord de l’eau. On y voit des surfeurs et des caballitos de totora, des embarcations en « totora », sorte de paille, qui servaient aux pêcheurs auparavant. Une plage… Et des restaurants où Nolwenn a du se transformer en ObiwanKenobi, bras tendus, pour repousser 2 restaurateurs qui arrivaient de chaque côté en COURANT pour nous proposer leurs services. On respire. On fuit!
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Le paysage est atypique, avec sa grande plage un front de mer touristique et en arrière-plan le désert… Une petite glace plus tard, on rentre à Trujillo déguster un plat local excellent, le riz Tacu-Tacu, né du mariage de la cuisine péruvienne et africaine.
Le lendemain, on décidera de faire une journée sur le thème de la faignaintise. On ne fera strictement rien de bien intellectuel sinon des recherches sur la cuisine péruvienne, de la couture, et des articles pour le blog. Dommage qu’à l’instar de nombre de ces voisines, il n’y ait pas de parcs dans le centre-ville. On aurait bien ajouté une petite sieste dans la pelouse à cette liste.
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Il est temps de rentrer à Lima, de retrouver André et… de prendre notre vol vers Bogotà, où nous passerons 4 jours avant de nous envoler pour 3 semaines à Cuba. Prochain article !
Ca fait plaisir de vous retrouver apres 3 semaines d’absence! Superbes images du trek. Par contre, je sais pas comment vous faites pour voyager dans les bus avec le vide a coté! Ca m’a foutu les j’tons rien qu’en regardant les photos…
Gros bisous
De même, même si internet ne nous a pas manqué, on est heureux de se re-connecter
Eh beh, tu n’aurais pas survécu car la photo par rapport au réel, c’est différent 😉
Bises
Quel trek, quels paysages, Je ne voyais pas Lima comme ça. Un bonjour à René depuis la Bretagne via une certain mariage à Montpellier.Que le monde est petit…..enfin pas trop quand même. J’ai tout aimé comme d’hab. Plein la tête!
Bises
Eh oui, on connait le Pérou des Andes, pas la côte, l’Amazonie ou la capitale
Bises
Je valide le trek tout mouillé !!! Bisous les warriors !
Toi tu aimes bien quand on souffre. Sadique.
Que paisajes más auténticos, que aventura más auténtica, me encanta como van relatando vuestro viaje, les quiere. Consuelo.
Tia Consuelo !
Es un gran placer de verte aqui
Esperamos que estas bien.
Besitos de Colombia
Whaouh, ils sont malades ces deux là…Un trek sous un ciel couvert, rien de plus désagréable…mais ça, on ne peut jamais savoir, faut tenter puis voir. Sympa ces petites infos! Bonne route à vous!
On vous suit…
Nelly et Nico
Bravo, très beau blog. Rappel émouvant pour nous de 6 mois en Amérique du Sud dans les mêmes contrées et avec le même mode de voyage il y a 15 ans … Mais tout en sens inverse, y compris le trek Santa Cruz (en 3 jours au lieu de 4 également et avec un temps de m…. En haut du col!).
Bravo, continuez de nous faire rêver.
JE
Bonjour,
Voici déjà 2 mois que vous nous aviez laissé ce commentaire, qui nous avait fait sourire. Nous sommes allés visiter votre dernier voyage avec les enfants en Asie du Sud Est, une belle aventure aussi, bien différente avec les enfants… A envisager un jour 😉
On rêve éveillés ici, surtout arrivés en Polynésie Française !!
Bonne continuation à toute la troupe !