On y sera finalement arrivé, à traverser ce désert à coup de longues journées sur la route. On arrive à Cairns, tout au nord-est de l’Australie. On ne le sait pas encore, même si on s’en doute un peu, mais c’est l’endroit privilégié pour visiter la Grande Barrière de Corail !! Après Uluru, on enchaîne avec un autre lieu qu’on voulait visiter à tout prix !! (tu m’étonnes !) Et le repos dans tout ça ? On verra, mais il faudra faire quelque chose à un moment donné !
Cairns
On arrivera à Cairns après notre périple d’une douzaine de jours dans le désert en passant par Uluru… Les conditions n’étaient pas les plus vivables, et c’est pourquoi on a préféré ne pas s’éterniser. Beaucoup de route, beaucoup de mouches, une chaleur qui ne s’arrête pas, des nuits où on ne récupère pas vraiment… Mais bon, on aura vu Uluru !!
On arrive assez fatigué. On espère que la côte nous offrira un peu de fraîcheur. Mais le climat tropical du Nord Est de l’Australie en mode « saison des pluies » ne sera que chaleur et humidité, ne nous aidant pas beaucoup pour s’endormir… En général, on s’endort par épuisement vers 1h du matin, après des heures d’attentes de sommeil qui n’arrivent pas, en transpirant immobiles allongés sur le lit priant pour une petite brise qui elle non plus n’arrivera pas…
On se dit qu’on devrait se prendre 2 jours OFF pour se reposer. Facile à dire, mais pour des zigotos qui ne savent pas rester sans rien faire, c’est plus dur. Surtout qu’on découvre que Cairns est la ville LA mieux placée pour aller visiter la Grande Barrière de Corail !! Cela ne fait aucun doute, il faut qu’on aille voir ça !!
Minute Culturelle :
La Grande Barrière de Corail est le plus grand récif coralien au monde, s’étirant de Bundaberg au Cap York sur plus de 2600km. Elle peut être vue de l’espace et constitue la plus grande structure créée par des organismes vivants au monde. Elle est constituée de milliards d’organismes minuscules connus en tant que coraux, et abrite une large diversité de vie marine et est inscrite au Patrimoine Mondial de l’UNESCO en 1981.
Une large partie du récif est protégée afin de limiter l’impact de l’activité humaine tels que la pêche et le tourisme. La Grande Barrière est également soumises aux effets environnementaux, tels que le ruissellement et le changement climatique.
Selon les scientifiques, la Grande Barrière de Corail aurait perdu plus de la moitié de sa surface corallifère depuis 1985.
Ca calme un peu… Bon, cela doit rester possible de faire une petite plongée sans tout bousiller. Les coraux proches de Cairns ont subi beaucoup de dommages notamment à cause des eaux rejetées par l’agriculture côtière, maintenant contrôlée. Les recommandations préconisent de plutôt prendre une expédition qui part un peu plus loin pour voir du corail intact.
On commence à se renseigner mais on se perd vite. Cairns est une station balnéaire très agréable, mais HYPER (!!!) touristique !! Ici, les agences de voyages et tours opérateurs sont les rois. On est submergés par les prospectus, et on se sent vraiment en décalage. Tour à la journée sur une plateforme sur la Grande Barrière, salle climatisée, salons confortable, tour d’hélicoptère possible en complément, repas buffet, … Euh… Et un petit bateau juste pour aller plonger pour pas très cher ça existe ?
Non pas vraiment. La clientèle cible n’est pas les jeunes Tourdumondistes au budget serré, mais bien les Australiens en vacances, et les Européens et Asiatiques qui ont déjà mis le prix pour venir jusqu’ici. Au premier coup d’œil, on en aurait au moins pour 300$ (soit 200€) par personne, pour une journée de plongée… Oui, on a beau être motivé, à ce prix là, il faut qu’on y réfléchisse un peu !
On part se promener un peu dans Cairns pour laisser décanter tout cet amas d’information. On est accueilli dans la ville par une odeur des plus nauséabondes !!! Mais d’où cela vient-il ?? On lève la tête et on découvre les arbres de la ville remplis de milliers d’immenses chauves-souris !! Qu’est-ce que c’est que ce délire ?! On n’a pas cherché l’explication scientifique à ce phénomène, mais une chose est sûre, ils habitent bien là, et ils le font bien sentir !
Il fait bien chaud, et on rêve d’aller se baigner ! L’océan est enfin à portée de main !! Oui, sauf qu’à part le regarder, on ne pas y faire grand chose… La baignade en mer ici est totalement déconseillée !! Et pour cause, les eaux sont infestées de méduses très dangereuses, voire mortelles, de crocodiles et de requins (mais eux, c’est partout en Australie). Il n’est donc pas possible de se baigner dans l’océan malgré la chaleur intense et la beauté des plages…
La ville offre donc un lagon artificiel sur la côte, véritable cœur de la ville. Entre sable et pelouse, au soleil ou à l’ombre des arbres du parc qui l’entoure, le lagon est le rafraichissement rêvé. Tout le monde s’y retrouve, en famille ou entre amis, et l’environnement invite vraiment à la détente ! On s’y arrêtera le temps d’une baignade et d’une bonne sieste…
Daintree Rainforest National Park
N’arrivant pas encore à prendre de décision concernant la visite de la Grande Barrière de Corail, on décide de partir vers Cape Tribulation, à 2h au nord de Cairns, pour visiter le Daintree Rainforest National Park, un parc abritant une forêt tropicale des plus vieilles du monde (paraît-il…).
A peine parti, à peine arrêté. La saison des pluies nous rattrape avec une bonne « shower » comme ils disent ! On optimise le temps en « geekant » et « bloguant » dans un Mcdo le temps que ça passe. On repart et on s’arrête picniquer à Palm Cove, une très belle plage au nord de Cairns. On en profitera même pour se baigner !! Oui, dans un carré de 20m² protégé par un filet anti-méduse, unique moyen de se baigner ici !
On repart et on s’arrête à Port Douglas où les excursions vers la Grande Barrière se partagent le départ avec Cairns. On file au Visitor Center pour avoir quelques informations sur Daintree National Park. Pas de sentier, juste une route jusqu’à Cape Tribulation ? Ah bon ? C’est étrange pour un Parc National. Bref, la dame n’avait pas l’air très enthousiaste, on verra sur place.
On roulera jusqu’aux portes du parc, et on campera à Daintree Village, la petite bourgade sur la rivière du même nom. Des excursions partent d’ici pour voir les crocodiles sur la rivière. Ici vivent les plus grands spécimens au monde, pouvant aller jusqu’à 7 mètres de long ! Tentant… On verra après si on est motivé !
On ira visiter le National Park, la route allant jusqu’à Cape Tribulation traverse la forêt et donne accès à quelques sentiers de randonnée (comme quoi il y en a en fait !). Pour y aller, une barge pour traverser la rivière en 5 minutes et 25 dollars… Oui, on a déjà utilisé ces barges auparavant pour aller à Adelaïde et c’était gratuit mais bon, ici ce n’est pas gratuit et c’est comme ça !
On fera quelques petites marches, visiterons quelques plages jusqu’arriver à Cape Tribulation qui offre une très belle vue sur une plage sauvage entre forêt tropicale vierge et l’océan infesté de méduses. Très sympa.
Sur le retour, on se laisse tenter par un tour en bateau sur la Daintree River et essayer de voir quelques gros crocodiles. Un tour qui nous rappelle beaucoup le Delta de Parnaiba au Brésil, au tout début de notre voyage (voir l’article). Le même type de végétation et de faune puisque nous avions vu des caymans là bas.
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Pour le coup, nous verrons 2 crocodiles de … 50cm … Pas très impressionnants … Bon c’est comme ça la nature…
La Grande Barrière de Corail
On revient à Cairns, bien décidé à en découdre avec toutes ces offres d’excursions. On sélectionne, on va voir les opérateurs, on se renseigne sur les spots, on fait le tour des agences… Une plongée gratuite ? Comment ça ? Une agence fait l’offre et cela devient la meilleure offre que l’on ait trouvée, et rend le projet financièrement abordable ! On book !!
Le lendemain matin, on embarque sur un gros bateau avec 80 autres passagers pour une journée sur la Grande Barrière de Corail avec au programme 3 plongées sur 3 spots différents ! Wouhouuu !!!!
Organisation militaire sur le bateau, timing chronométré et incompressible, ça ne rigole pas ! Il nous faudra près d’une heure de bateau pour rejoindre la barrière de corail (elle n’est pas toute proche !). Par contre, un guide de plongée très sympa et surtout, des plongées MAGNIFIQUES !!! Des coraux colorés à foisons, des poissons dans tous les sens, des tortues, des requins, des raies, des murènes, etc… Bref, un vrai régal qui dépassera bien nos espérances !!
Cela en valait bien la peine ! On repart bien content et satisfait de notre journée ! On regrette de ne pas pouvoir en profiter plus mais les prix sont trop élevés pour pouvoir se permettre plus… Pour idée, la journée nous aura coûté 500 dollars pour les 2, incluant les 3 plongées et toute la restauration de la journée.
Vers Airlie Beach
On revient de notre excursion des coraux plein la tête et on décide de profiter encore du lagon de la ville pour résoudre notre grande éternelle question du voyage : « Et maintenant, on fait quoi ? ». Rien ne nous retient plus ici, il faut bouger, rouler vers le sud.
On reprend la route le jour même et s’arrêtera à une heure au sud de Cairns sur une aire de camping gratuite et mieux aménagée que la plupart des camping payants !! C’est à n’y rien comprendre… Le lendemain, on rencontrera un jeune couple de français très sympathique, Stéphanie et Yoan, avec qui on discutera pendant plusieurs heures. On roule dans la même direction, on se recroisera plus tard !
On s’arrêtera à quelques endroits dans les terres où des rivières offrent de supers spots de baignade ! Le soir on retrouve nos amis sur une petite aire de camping juste au bord de la route, et hyper convoitée ! On est les uns sur les autres …
Le lendemain, on continue la route. Sur le chemin, une plage dont on a beaucoup entendu parler. Comme beaucoup d’autres plages en Australie, Mission Beach se veut être « La plus belle plage de l’Australie » si ce n’est « L’une des plus belles plages au monde ! ». Ce qui est sûr, c’est le Queensland n’est pas « l’état le plus humble au monde ! ».
Mission beach est effectivement une très belle plage mais que nous n’aurons pas l’occasion d’apprécier à sa juste valeur puisqu’il pleut, et qu’il va pleuvoir pendant plusieurs jours encore. Oui, c’est ça la saison des pluies. Dommage pour Mission Beach mais on ne va pas rester 5 jours pour attendre le soleil…
On repart et arrive à Townsville, la ville d’où part la route vers le désert. On serait arrivé par là si on n’avait pas dérivé au Nord par Karumba. On retrouve nos amis ici aussi pour partager une nuit de folie sur le parking d’une station essence partagé avec les camions et la tonne d’autres voyageurs qui résolument ne veulent pas payer une fortune la nuit dans un camping, comme nous.
Minute SDF :
Le voyage en van, cela nous faisait rêver. C’est vrai que c’est le meilleur moyen de voyager dans des pays comme la Nouvelle-Zélande et l’Australie. Cela allie liberté de mouvement à l’économie sur le logement ET la nourriture puisqu’on cuisine TOUS les jours. Cela permet aussi de camper parfois dans des endroits improbables et vraiment canons !
Par contre, sur certains tronçons, il faut l’avouer, on touche le fond… Les campings dans cette région ultra-touristique sont excessivement chers, et on se retrouve quelques fois à camper derrière des stations-services, où l’on retrouve d’autres « campeurs-cracoucass » comme nous… On n’envoie pas du rêve, mais cela fait partie du jeu…
Nos amis, eux, partent vers le désert pour voir Uluru. Ils font le trajet inverse que l’on vient de faire. Et inversement, on descend par la côte Est, ce qu’ils viennent de faire. On échange donc tous nos bons plans et on refait le monde 3 fois dans la soirée ! On leur souhaite bon voyage !
Airlie Beach et les Withsundays Islands
La longue route n’offrant rien de particulier, on tracera jusqu’à Airlie Beach, un autre grand spot dont on a entendu parler : les Whitsundays Islands. On ne sait pas trop encore ce que c’est, mais on se laisse guider par les échos entendus. On a un peu peur du lieu où on va tomber, encore une grosse machine à fric très probablement.
Bingo ! C’est bien ça ! On arrive, et la petite ville qui a tout pour plaire grouille d’agence et de tours opérateurs. Bon, on s’y attendait. Mais l’ambiance est sympa, et la ville offre aussi un lagon très sympathique !! On commencera par ça avant de s’engager dans la laborieuse recherche de qu’est-ce-qu’on-peut-voir-et-à-quel-prix des agences !!
Allez, on se lance ! Les Whitundays Islands sont un archipel proche de la côte composé de 74 îles qui offrent des plages sublimes, une eau claire et transparente et des sites de plongée/snorkeling. Le « clou du spectacle » est Whitehaven Beach, une longue plage de sable blanc (le sable le plus blanc du monde paraît-il) à l’eau cristalline se terminant sur Inlet Hill, un estuaire qui offre une vue magnifique à marée basse lorsque l’eau turquoise serpente dans un zig-zag de dune de sable blanc.
Ca donne envie ! On apprend que les Whitsundays sont un parc national, qui offre aussi sentiers de randonnée et sites de camping pour randonneur. Ca, ça nous plait ! On se renseigne, et pour rejoindre Whitehaven Beach en bateau, cela coûte 150$ par personne… Aïe… On essaie de trouver des infos, mais il n’y a pas de Centre d’Information du gouvernement à Airlie Beach, que des agences et opérateurs privés. Le Centre d’Information officielle se trouve à 30 minutes de route de là dans les terres.
On tente notre chance, et cela confirme bien ce qu’on a apprit… 300$ pour aller randonner, c’est un peu excessif… Ok, alors qu’offrent les tours ? En gros, pour 120$, on peut faire une excursion à la journée avec 80 autres pèlerins pour aller à Whitehaven Beach et Inlet Hill, un arrêt snorkeling et un repas. C’est encore correct, mais l’idée de faire un tour nous rebute. Et après les plongées sur la Grande Barrière, le snorkeling ne nous paraît pas indispensable…
Qu’est-ce qu’on fait alors ? On s’en va d’ici ? Hmmm… Nos amis français Stéphanie et Yoan nous avait partagé leur expérience ici qui nous avait plu : un tour en avion d’une heure au-dessus des Whitsundays Islands, avec deux beaux passages sur Whitehaven Beach et Inlet Hill. Mais surtout, l’avion va aller jusqu’à la Grande Barrière de Corail pour la voir du ciel !
C’est vrai qu’il est difficile de se rendre compte de l’immensité de cette Grande Barrière de Corail. Du bateau pour la plongée, on ne voyait que le morceau de corail où nous étions. Avoir un aperçu du ciel nous donne vraiment envie ! On se renseigne, et c’est cher certes, mais encore correct ! 200$ pour une heure d’avion à bord d’un petit 7 places. Hmm… Est-ce qu’on a le budget pour ça ? Nolwenn avait reçu une petite enveloppe pour ses 30 ans qu’elle gardait pour quelque chose de spécial. Et…
Ce sera pour ça ! Allez, on book !! Dans deux jours, on ira faire un tour un avion au-dessus des Whitsundays et de la Grande Barrière de Corail !!
Le jour libre sera partagé entre recherche de travail la matinée et détente l’après midi. Oui, on pense toujours travailler si possible alors on essaie de postuler à des offres, envoyer des emails, passer des coups de fils. On lance une trentaine de bouteilles à la mer, et on ira profiter du lagon à Airlie Beach avec un beau coucher de soleil.
Survol des Whistsundays et de la Grande Barrière de Corail
Comme des gosses, on est intenables. On a trop hâte !! On décolle et on découvre les Whitsundays. Très beau vu du ciel ! On arrive sur Whitehaven Beach et Inlet Hill et on profite du paysage qui s’avère effectivement très beau !
L’avion continue et on commence à apercevoir la Grande Barrière de Corail ! Incroyable ! On voit quelques bateaux en visite qui paraissent tout petits. La Grande Barrière forme une épaisse ligne de corail au milieu de l’océan, c’est somptueux ! Et quelles couleurs !
Enfin, petit clou du spectacle, l’avion passera à deux reprises sur le fameux « Heart Reef », le petit morceau de corail en forme de cœur rendu populaire par la photo de Yann Arthus-Bertrand. On est sous le charme !
Voilà, on revient de notre expédition tout contents. On aura pu profiter de la Grande Barrière de Corail depuis les fonds marins et depuis le ciel, c’est déjà pas mal ! C’est un lieu très onéreux pour y aller, mais c’est une merveille de la nature.
Bon, et maintenant on fait quoi ? On reprend la route, direction le sud !
Article écrit à Maryborough, dans le camping le plus sympa d’Australie !
Je comprends que tu as toujours été attirėe par le bleu turquoise , il est magnifique !!!
Plein les yeux!!!
Bises
Et moi je suis toujours attiré par elle, elle est magnifique !
Gros bisous à vous et à très bientôt !
Et bien moi je la connais depuis plus longtemps et je crois être de plus en plus attiré…
Ça suffit maintenant!!! sinon!!!
Bises à vous deux.
C’est bien, vous n’êtes pas (trop) tombés dans les pièges à touristes quasi inévitables ici. Bonne continuation !
Salut à vous !
Merci pour votre commentaire ! Oui, enfin je ne sais pas si on peut vraiment y échapper mais bon, au moins on a pu en profiter comme on pouvait !
Bonne continuation à vous aussi et au plaisir de vous lire !
C’est incroyable encore ce que vous faites, ce que vous voyez : la barrière de Corail, tout simplement splendide,surtout vu d’en haut!
C’est vraiment magnifique l’Australie, comme dans mes rêves!!!
C’est effectivement VRAIMENT beau… Comme sur les photos de Yann Arthus-Bertrand
A prévoir pour un voyage futur, l’Australie, c’est difficile d’être déçu.
Wouahhh on ira découvrir cette barrière lorsqu’on ira vois la famille de Gilles
Tres bon programme! Et la Tasmanie, c’est vraiment sympa! (En moto aussi ;))
Encore du turquoise plein les yeux !!
Alors verdict : Polynésie ou Australie dans vos préférences ?
Je valide la minute sdf. Bande de punks sans chiens.
Bisous de Paris au printemps !
Ah! Le turquoise !!!
Hum… comparaison impossible.
La bise
On prend enfin le temps d’aller voir votre blog depuis notre retour car on a pas arrêté depuis qu’ on est revenu. Eh oui, nous aussi on a connu la côte Est très touristique où les tours opérateurs occupent toute la place, on a aussi beaucoup hésité à chaque fois, c’ est vraiment dommage , ça perd de son naturel et on ne peut rien faire par soi même ! De ce fait on a largement apprécié la petite barrière de corail au nord de la côte Ouest que l’ on peut atteindre à la nage. En effet, ça change tout. C’ est vraiment dommage cette boîte à frics !!! Continuez votre beau voyage, Charlotte et Alex étaient supers contents de passer du temps avec vous, eux ils sont entrain de monter. Bises à tous les 2