Pura Vida en Costa Rica

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Le monde de Nemo sur terre ? C’est possible : Bienvenue au Costa Rica ! Un pays sans armée, une atmosphère « Pura Vida », une grande partie du territoire protégée par des parcs nationaux, une faune et flore dense entre Pacifique et Caraïbes, des volcans, des forêts tropicales, des spots de surf à gogo… Mais des prix bien forts.

Bref, ATTENTION LES YEUX !


 

 

 Le périple vers le Costa Rica

Le 2 juillet, nous voici de retour à l’aéroport de Paris en direction du Costa Rica, pour reprendre le voyage où nous l’avions arrêté.

Le marathon des vols est lancé : Paris – Boston – Atlanta – San José. Un parcours semé d’embuches, nous donnant l’occasion d’exercer notre plume pour écrire au service des réclamations de notre nouvelle compagnie aérienne préférée : Delta Airlines. Le NecPlusUltra de la nullité !

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Partis avec 2h de retard de Paris, il nous a fallu – ô bonheur inespéré – passer l’immigration américaine et récupérer nos bagages à Boston, à 23H… Le comptoir de Delta étant fermé, nous étions bloqués pour la nuit dans le hall d’entrée de l’aéroport, jusqu’à notre prochain vol à 6h du mat le lendemain matin!
4h du mat, ça ouvre, on dépose les bagages, et on apprend que l’escale technique d’Atlanta s’est transformée en véritable escale avec changement de terminal, en 1h…

 

Sauf que le vol aura 2h de retard, et donc nous raterons l’avion vers San José, malgré un magnifique sprint à travers tout l’aéroport : oui, autant que le terminal soit (encore) à l’autre bout de l’aéroport. Superbe! Après avoir pratiqué notre anglais à base de « f@@@ », on filera voir notre ami le comptoir Delta. Un agent bien semblable à Garfield côté dynamisme nous rebooke sur le vol suivant, en soirée. A l’arrivée, il manquait évidemment un bagage (celui de Nolwenn, com d’hab!), qui arrivera par magie le lendemain soir.

Bref, une grande partie de plaisir. Merci Delta.

 

1. On the way backCe fut tout de même l’occasion de découvrir les nouvelles technologies américaines au passage de l’immigration à Boston face à… une machine !!! Elle bouge pour se mettre à ta hauteur, hop une photo, une prise d’empreinte, et nous voici acceptés… Bon, ils n’ont pas encore trouvé comment faire tamponner le passeport automatiquement, alors on passe avec un agent, avec son accent teeeeeeellement américain, et une petite blague en passant…

A 21h heure locale (3h du mat en France), toute blague est drôle.

 

 

San José, la capitale

 

A nouveau d’attaque après une bonne nuit de sommeil dans un méga king size bed, nous voici à cogiter sur le programme costaricain. Où aller en 10 jours ? En bus ?

 

2. San José place centraleOn passera une journée à San José, capitale de 1,5 millions d’habitants. Ce n’est pas pour son architecture qu’on vient ici, mais l’atmosphère est agréable. Des places bondées de « ticos » toutes générations confondues sont assis dans la rue et les parcs, des vendeurs déambulent entre les passants vendant fruits, caleçons, montres, et surtout des billets de loterie.

 

Un peu plus loin, on se baladera dans le parc de la Sabana, qui nous a fait penser à un mini-Central Park. Avec des canards un peu spéciaux et des arbres à l’écorce multicolore.

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Teatro nacional

Teatro nacional

San José fut aussi le moment de découvrir l’importance des fast-food : vive les Dunkin’Donuts, KFC et Mc Do. On n’a d’ailleurs jamais vu autant de Mc Do au m2. Ahurissant. Pas le temps de voir le dernier « Mc Postre » qu’un nouveau « Mc Do » se plantait face à nous. A en devenir fous…

Pas d’armée oui, mais des maisons presque toutes protégées par des barbelés et des clôtures électriques… Et ce, partout dans les endroits visités.

 

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La forêt de nuage à Monteverde

 

Le lendemain matin, nous voici à la gare attendant l’un des 2 seuls bus de la journée vers l’un des grands attraits touristiques du Costa Rica : Monteverde, une forêt tropicale en altitude plongée dans la brume, avec une végétation unique où vivent de trèèèèès nombreux oiseaux et mammifères… Bref, nous étions tout feu tout flamme pour découvrir les trésors de cette forêt!

4h pour faire 150km : bienvenue au Costa Rica ! On l’expliquera dans notre rubrique « Bilan & Infos », mais le bus au Costa Rica n’est vraiment pas la meilleure solution pour découvrir ce pays si riche : peu de bus, desservant les gros spots, souvent inconfortables et très (très) lents!

Arrivée en soirée à Monteverde

Arrivée en soirée à Monteverde, avec l’océan Pacifique en toile de fond

 

Nous arrivons en soirée à Santa Elena, village paisible à quelques kilomètres des parcs nationaux. Installés dans notre backpacker bien sympa, on se prépare pour le lendemain autour d’une bonne bière locale et d’un excellent burrito (il y a plus de cuisine mexicaine que dans n’importe quel pays ici !). 3 parcs peuvent être visités, dont le principal est la réserve de Monteverde, mais en voyant le nombre de touristes par jour, on se dit que le contact avec la nature risque de se transformer en Disneyland… Alors on opte pour une petite réserve méconnue juste à côté et nous n’avons pas été déçus !

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La réserve Curi-Cancha

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La Minute naturelle 

Le Costa Rica est le seul pays au monde n’ayant pas d’armée, depuis 1948. Le budget du pays est principalement consacré à l’environnement, l’éducation et la santé. Une importante surface du pays (25%) est constituée de parcs, où vivent un nombre et une beauté d’espèces animales et végétales incroyables… Attirant près de 2,5 millions de touristes à l’année pour 5 millions d’habitants! Par contre, tous les parcs sont… payants ! Et pur la plupart pas moins de 10$… Bienvenido a Costa Rica !

 

Donc, après avoir réglé notre droit d’entrée, nous voici ultra motivés pour notre chasse au trésor : objectif voir le plus d’animaux possibles, et surtout des oiseaux !

Vue panoramique de la forêt de nuage

Vue panoramique de la forêt de nuage

 

Photo Internet

Photo Internet

On commence fort avec un Quetzal, oiseau très recherché. Nous n’avons pas de photos, nous tordant le cou pour le voir perché tout en haut d’un arbre imposant. Mais on pourra voir ses couleurs vert émeraude et rouge, avec une queue pouvant aller jusqu’à 50cm, impressionnant!

 

 

On se baladera presque 4h dans la réserve, ayant tout de même du mal à apercevoir les oiseaux dans ces arbres très touffus et bien hauts… Mais voici une panoplie de ce que nous avons vu, avec un plaisir non dissimulé…

 

 

 

Le Parc Manuel Antonio

 

Après Monteverde et des discussions au sommet, on décide de partir vers la côte pacifique, en commençant par le Parc Manuel Antonio, le plus petit mais le plus visité au Costa Rica ! Pourquoi ? Mais parce qu’entre la forêt tropicale, les animaux et la plage, ce parc est tout simplement GENIALISSIME !!!!!!

19. Manuel Antonio - plage

Encore plus de 6h de bus pour 200km… Nous voici à Quepos, village à quelques kilomètres du parc. On nous avait prédit un village à l’âme costaricaine, nous voilà entouré d’américains, burgers et mexicains… Hum… L’âme costaricaine a du s’en aller depuis longtemps!

D’ailleurs, les américains sont bien présents au Costa Rica : des retraités résidents et 1 million de touristes à l’année.

On se renseigne pour aller au parc, on essaie de trouver un commerce où nous pourrions discuter plongée, sans succès. On laisse tomber, on goûte la spécialité costaricaine, le casado, à base de … riz et haricots rouges! Ah! on commence à sentir germer le riz dans notre ventre à force de manger du riz en Amérique Latine…! Au lit.

La Minute Pura Vida

« Pura Vida », 2 mots bien ancrés dans la culture du pays. Nous les avons entendus régulièrement, pour commencer ou terminer une conversation, pour dire que tout va bien, inscrite partout sur les murs, les vêtements, etc… Bref, un mode de pensée ! Mais ça veut dire quoi ?
Philosophie de vie simple et heureuse, les costaricains prennent le temps de vivre. Ce ne sont pas des gens stressés et nous avons eu de très bons rapports avec eux, souriants et accueillants. Agréablement surpris, après ce que nous avions entendu des quelques voyageurs qui en venaient, sur ce point.

Le lendemain matin, on saute dans le bus et nous voici les premiers arrivés à l’ouverture du parc, la meilleure heure pour voir les animaux normalement. On est AU TAQUET !

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Seuls au milieu de la jungle, nous voici aux aguets, chuchotant et écoutant les bruits aux alentours… Et là, ce fut juste GENIALISSIME : des grenouilles fluo de la taille de mon ongle, des paresseux, des singes, des papillons de la taille d’une main (les morphos), des agoutis, raton-laveurs, des iguanes, un serpent et même une biche !

Allez, pour vous faire partager notre chasse au trésor, on vous met au défi de trouver sur les photos quel animal est caché… Bon courage!

 

Mais le Parc Manuel Antonio, c’est aussi une forêt vraiment très (très) belle, des vues sur l’océan Pacifique vraiment jolies et des plages charmantes avec une eau bien chaude… Bref, ici, c’est un petit coin de paradis.

Plage Manuel Antonio

Plage Manuel Antonio

Et voici une sélection des plus belles photos, dur de choisir…

Heureux, rassasiés ! On avoue que nous avons eu des frissons et même qu’on n’en demandait pas tant…

 

 

 

Jacò, une plage au sable noir pour surfeurs

 

Le lendemain, on repart à quelques kilomètres au nord, toujours sur la côte pacifique, où on se posera quelques jours à Jacò, station balnéaire touristique. On trouve un bon pied à terre avec une cuisine pour éviter les fast-food et les prix exorbitants… et on part directement à la plage… qui s’étend sur 4km! Avec des vagues sacrément belles, du sable noir, des cocotiers tout le long et 2 collines bien vertes de chaque côté, pas mal du tout ! Dommage qu’effectivement la plage soit tant développée touristiquement parlant, avec des immeubles qui sortent juste derrière les cocotiers…

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Une baignade, que calor ! Sacré courant… et sacrées vagues ! Manu ne tient plus, et nous sommes ici pour ça :

LE SURF !

Eh oui, toute la côte pacifique du pays est bordée de spots de surf de différents niveaux et Jacò est un spot réputé pour tous les niveaux.

SONY DSCManu loue une planche pour 24h à notre backpacker, ici, on ne rigole pas avec le surf, ça parle 6-8, 7-3, superfish, long board : Nolwenn hallucine. Les surfeurs, ils ne déconnent pas…

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On retourne à la plage avec chacun son rôle : le beau gosse surfeur et la blonde première fan, bronzant sur la plage.

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Beau gosse, ça, pas de problème. Surfeur, par contre, dans ces conditions, pas facile !!! Car les vagues étaient vraiment bien plus grosses qu’en arrivant, très fortes et très rapprochées. Impressionnant! Et Manu passera un peu dans la machine à laver, réussissant tout de même à en prendre quelques unes, mais ça n’est pas en spot pour débutant là !!!

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Jusqu'à la nuit !

Jusqu’à la nuit !

Le soir, on aura droit à un surfeur apprenti exténué, mais plus motivé que jamais pour y retourner le lendemain, afin de retenter une session, en espérant que les vagues soient un peu moins grosses (1m20 versus 1m60)… La petite blonde aimerait aussi, histoire de pouvoir se baigner sans perdre son maillot de bain et voir son apollon sur sa planche plutôt que les pieds en l’air (belle photo néanmoins ci-dessous).

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Où est-il ? :D

Où est-il ? :D

7h du mat le lendemain matin, Manu est debout et déjà prêt à partir. Connaissant la bête c’est du jamais vu, enfin du très rare ça! Sa petite blonde le rejoindra 2h plus tard pour le voir au milieu de ces toujours immenses vagues. Franchement pas très rassurée, appareil photo en main! Notre surfeur daignera sortir vers 9h30 pour prendre un petit dej, débriefant de la matinée. Quelle force ces vagues ! Il est CREVE ! Et c’est bien compréhensible…! Vraiment pas facile de prendre les vagues ici, ça n’est pas pour les débutants ou intermédiaires moyen…

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L’après-midi on fera plage tous les 2, enfin Manu aura abandonné sa planche mais passera tout son temps à sauter dans les vagues. Adulte ? Lui ?

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Le parc Carara, rencontre avec l’Ara rouge

 

Le lendemain, direction le parc Carara, à 20 km de Jacò, où c’est le meilleur moment pour voir les aras rouges, espèce assez rare et magnifique. On peste un peu contre les bus, n’y comprenant rien, pour finalement en avoir un et enfin pouvoir découvrir le parc.

Grand, bordélique ? Non!

Grand, bordélique ? Non!

Le premier sentier est bien balisé, on entend beaucoup d’oiseaux mais… on ne les voit pas! C’est tellement touffu et sans jumelles, c’est compliqué!

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On rencontrera de beaux arbres, notre mini grenouille fluo (vue à Manuel Antonio), deux petits oiseaux, un singe capucin et un sacré iguane qui ressemblait beaucoup à un dinosaure!!

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Grenouille naine

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Champignons ventouses

 

 

 

 

 

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Fleur spongieuse

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Lézard bien vert

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Iguane-dinosaure, le voyez-vous ?

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On décide d’aller sur le deuxième sentier, à 2km en longeant la route nationale. Pas très rassurant tout ça ! On y arrive enfin, on ne croisera que 2 groupes, sur un chemin pas très entretenu et donc beaucoup plus sauvage ! Parfait !

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61. Carara - Nolwenn

Et des bananes, et des bananes…

Opération boue et passage de tronc d’arbres pour espérer les voir, ces aras ! On entend des cris qui ressemble beaucoup à ceux d’un perroquet tout de même… On cherche, on cherche, mais non toujours pas !!! Et finalement, EUREKA ! un groupe d’une vingtaine d’ara macao se trouvent dans un immense arbre, à 50m, de l’autre côté d’une mangrove. Superbes.

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Vous les voyez ?

Vous les voyez ?

On bombarde, heureux. Certains traverseront même la mangrove pour se nicher sur les arbres au-dessus de nos têtes avec leurs couleurs flamboyantes. Manu se transformera en un lion de la gachette, bombardant les aras, totalement hypnotisé. On le perdra 30min. A juste titre.

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On y va ?

Sous le charme, on rebrousse chemin sous un orage, longeant encore 600m la nationale pour arriver sur le pont surplombant le Rìo Tàrcoles, où se trouvent… des crocodiles américains, une espèce de crocodile plutôt grand ! Régulièrement nourris par les groupes de touristes (… sans commentaires), ils restent sous le pont. Euh… Non, il ne faut pas tomber là !!! Beurk !

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Mais où est le toucan ?

Voilà une question qu’on se sera posée pendant notre séjour… Nous voulions en voir un seul, et bien NADA, rien. Pas un seul toucan ! Ils sont représentés partout et seraient nombreux et facilement visibles… Déçus, mais c’est la vie !

Le temps de se reposer une journée après ces heures de marche, une petite baignade, un repas à domicile, un match de la CONCAF (l’EURO local) Costa Rica – Salvador, où le Salvador égalisera à la 92ème minute (…) et nous voilà repartis pour notre ultime étape.

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Le Volcan Poàs, ultime étape

 

Nous voici donc à Alajuela, deuxième ville du pays avec… 40 000 habitants, à 20km de San José et tout près du volcan Poàs. Après avoir jeté notre dévolu sur un petit hôtel, on se balade dans les rues de cette ville plutôt tranquille, sans grand intérêt… On décide donc de se faire une après-midi geek-internet-blog-associable. ça on sait faire, et ça faisait longtemps.

Réflexion

Le Costa Rica, c’est cher, très cher. Le pays est magnifique, mais il n’est pas pour les petits budgets! Côté logement, en pleine saison des pluies, nous n’avons pas pu planter la tente, malgré les potentielles occasions. Côté repas, nous avons en revanche beaucoup cuisiné nous-mêmes, afin de contrer le coût des restaurants enfin des fast-foods, car ça, il y en a! Vous aimez les frites et le poulet frit, sous toutes ses coutures ? Venez au Costa Rica, vous allez en rêver! Côté transport, les bus ne sont en revanche pas très cher, heureusement, vu la qualité du réseau ! Et enfin, les visites, et bien, accrochez-vous, vous battrez tous vos records : en moyenne 15$ l’entrée d’un parc… On ne parle pas des activités proposées…

Le lendemain matin, nous voici parés à notre dernière journée au Costa Rica avec notre ultime visite. Nous nous rendons tranquillement à l’arrêt de bus, pour prendre l’unique bus de la journée qui se rend au parc…

« Petit » coup de gueule car là, vraiment, ils nous ont pris pour des jambons : le bus part à 9h, et met 1h30 pour faire… 30 KM ! Oui. Vitesse escargot, pause au café pour nous faire consommer à 5min de l’entrée du parc… On a cru devenir fous. Surtout qu’en arrivant à 10H30, il est souvent trop tard pour voir le volcan, sous les nuages très rapidement (le parc ouvre à 8h). Pas de plan B.

Donc, comme vous pouvez vous imaginer, nous n’avons strictement rien vu, le prix du parc est passé de 10 à 15$, et il n’y a qu’un seul petit sentier de 2km pour se dégourdir les jambes, peu intéressant. Bref, nous sommes très déçus et un goût amer dans la bouche, en attendant l’unique bus pour rentrer, à 14H30 (en 1h vous avez tout vu). On joue à la Nintendo et au Solitaire, dans la cafétéria regardant une pluie diluvienne à travers les vitres. On a vu plus glamour…

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Ce qu’on a vu

63. Volcan Poas sous le soleil

Ce qu’on aurait du voir

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En rentrant, on prend notre dernier repas dans le mercado local, le dernier d’Amérique Latine. Nostalgiques. En arrivant à l’hôtel pour récupérer nos sacs, il a changé d’avis et c’est non, on ne peut plus prendre de douche. Ca tombe bien, on s’apprête à se rendre à l’aéroport pour un marathon de 3 nuits – 3 aéroports.

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Nous voici donc à l’aéroport de San José pour notre marathon. Dans 2 jours, nous sommes à Los Angeles, on a du mal à réaliser…

Eh oui, l’Amérique Latine, le riz et les haricots rouges, les repas sur le pouce du mecardos, l’espagnol, les bus, c’est fini… Sensation étrange. Vague à l’âme. Nous avions déjà senti un vrai changement entre l’Amérique du Sud et le peu d’Amérique Centrale visitée, beaucoup plus proche des Etats-Unis. Mais là, on fonce clairement vers une autre planète : les Etats-Unis ! Curieux, tristes, heureux, on ne sait pas trop.


A suivre, en direct de l’aéroport de San José, au Costa Rica : le marathon San José – Mexico – Houston – Los Angeles est lancé! 

10 commentaires

  1. Delphine & Colin   •  

    Oh la la Nolwenn, t’as pas l’air contente sur la 2eme photo!!

    Pour les photos devinettes, un singe peut etre sur la 1ere photo, une grenouille jaune et noire sur la derniere photo, mais sinon on cale… (mais y’a quoi a voir sur cette photo…??)

    Gros bisous and enjoy the States!

    • Manu et Nolwenn   •     Auteur

      Coucou Delphine !
      Sur la photo, je suis juste épuisée, et on a bien ri en la regardant 2 semaines plus tard. On ne pouvait pas ne pas la partager! 😉

      Pour les photos-devinette, tu n’es pas loin pour le singe et 1 point pour la grenouille :
      1. Grenouille de la taille d’un ongle, parmi les feuilles.
      2. Paresseux dans les arbres (il porte très bien son nom…)
      3. Serpent bien vert, au milieu de la photo sur la branche
      4. Tribu de bernard-l’hermite sur la plage
      5. Iguane couleur arbre sur le tronc caché derrière la feuille.

      Les Grands Parcs des Etats-Unis, c’est juste INCROYABLE. Jamais jamais je n’aurai pensé être autant emerveillée tous les jours. Les « C’est énorme » pleuvent toutes les 1/2 heures, on a des batteries d’appareil photo en charge continuelle et plus de 500 photos par jour à trier. M…

      Bises de Grand Teton !

  2. JJ   •  

    Bizarre ce pays avec ses visiteurs, mais quelle chance d’avoir vu tous ces animaux en liberté !
    Alors Manu, plus cool le surf a Guidel n’est ce pas!
    Bonne virée aux US!

    • Manu et Nolwenn   •     Auteur

      Oui, le Costa Rica fut définitivement une très belle étape animalière 😉
      Et le surf, effectivement, à Guidel, c’est plus… zen ! Mais il en redemande alors on va voir ça pour la côte pacifique américaine et au mois de septembre… à suivre !
      Bises

  3. eric F   •  

    Vous avez le bonjour de la Tour First et plein de bonnes choses.
    Je lis vos reportages avec attention et intéret.
    Take care, eric

    • Manu et Nolwenn   •     Auteur

      Bonjour First,
      Merci pour ce message, me voilà bluffée de voir un lecteur aussi assidu :) C’est un plaisir.
      Le premier article de notre roadtrip estival aux Etats-Unis devrait bientôt paraître si notre rythme et les opportunités de rencontrer notre fidèle ami INTERNET se présentent un peu plus souvent… 😉
      Passe le bonjour aux First-iens !
      En direct de la 101, entre Seattle et San Francisco

  4. Nico   •  

    Joli comme pays: plage et nature, le paradis sur terre en fait. Super reportage encore!
    Whaouh, les Etats-Unis maintenant, on rentre dans une autre planète, on dirait…hâte d’avoir la suite.
    Nous,c’est fini, on rentre sur Santiago…pour mieux repartir (la Bolivie, whaouh!!!).
    Biz
    Nico

    • Manu et Nolwenn   •     Auteur

      Salut Santiago !
      Effectivement, le Costa Rica, c’est très beau. Y’a pas d’autres mots !!!
      Déjà 1 mois aujourd’hui que nous sommes aux Etats-Unis, encore environ 3 semaines, mais quel changement d’ambiance ! Des surprises, quand même très positives, on en prend plein les yeux, avec un rythme effréné, mais avec ces distances folles, il le faut bien ! Prochain article bientôt on espère… On est très en retard…
      On lira votre blog à tête reposée à la fin du mois… 😉

      Bises à tous les 2 !

  5. Alix   •  

    Trop cool d’avoir de vos news :) Gros bisous !!!

    • Manu et Nolwenn   •     Auteur

      Aïe aïe aïe, avec le rythme fou et les peu de connexions internet ici aux US, on a 1 mois de retard !!! Mais le 1er article sur les USA devrait bientôt paraître,… Ca n’a jamais été aussi dur que dans le pays le plus développé au monde!! Bises

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